Je cherchais une formation en Nouvelle-Calédonie, qui me permette d’intégrer de la création dans mes futurs projets professionnels. J’étais ouverte au fait de franchir le traditionnel pour me rapprocher du digital.

Le BUT MMI me permet de développer des compétences diverses adaptées au monde du web, entre développement web, communication, gestion de projet, création et bien plus.

C’est une formation qui ne néglige pas la pratique, je découvre ainsi des logiciels créatifs et pose un premier pas dans le monde de l’audiovisuel.

La communication est au cœur de tous les projets, qu’ils soient créatifs, institutionnels ou personnels. J’aime l’envisager comme un outil transversal : elle permet de donner du sens à une création.

Mettre mes compétences en communication à profit, c’est avant tout construire une stratégie cohérente : définir des objectifs, comprendre le public, choisir les bons canaux, et concevoir des contenus qui servent autant le fond que la forme.

Qu’il s’agisse d’un projet de marque, d’un événement ou d’une réalisation plus artistique, la communication structure et renforce l’intention.

En résumé : je mets la communication au service de la création, et la création au service de la communication.

J’ai eu conscience des enjeux, qui sont d’autant plus pesants dans les Institutions et dans des secteurs comme la prévention en santé publique. En entreprise, il y’a une certaine posture à avoir, un fonctionnement à comprendre et des projets d’envergure.

Evidemment j’ai pu appliquer mes compétences acquises lors de mes formations. J’ai piloté des projets d’UX, coordonné des campagnes de communication, crée des outils professionnels et mettre en place des stratégies.

En tant que grande consommatrice de plusieurs médias, je m’inspire de de ce que je vois et ce que j’entends au quotidien.

Avec une double culture, mes influences sont diverses et témoignent de mon ouverture au monde, sur l’occident comme sur l’orient.

J’ai une grande admiration pour les oeuvres de Cho Giseok, PapeSan, Alice Moitié, Takashi Murakami ou encore Yoshitomo Nara, artistes divers.

Bong Joon Ho, Hayao Miyazaki et War Kong Wai sont pour moi des repères en cinématographie.

Dans l’industrie de la mode j’ai beaucoup été marquée par Vivienne Westwood et Gentlemonster.

Je pense fortement que la musique a un impact sur mon style personnel et celui de mes productions, avec des artistes comme Nirvana, Tyler the Creator, Ptite Soeur, Weezer, Radiohead, Deftones ou encore Arctic Monkeys.

J’ai toujours été ouverte à plusieurs chemins, et je suis sûre d’une chose, je veux créer.

Apprendre des techniques, maîtriser des logiciels, des mediums, m’inspirer, c’est ce qui m’anime et mon souhait est que cela me suive dans ma vie professionnelle.

Etudier l’Anglais Monde Contemporain c’est s’ouvrir au monde, à la sphère anglophone. On traite de sujets de société comme l’égalité, la liberté, le pouvoir, la diversité ou encore l’environnement.

J’en ressors avec des compétences d’analyse profonde, une éducation médiatique et une compréhension des enjeux à une échelle internationale, tout cela en anglais.

Comprendre une société permet d’agir dans celle-ci, ces compétences me permettent d’interpréter des contenus engagés et d’en produire à mon tour.

L’étude des Arts Plastiques ne repose pas que sur de le pratique. La capacité analytique et rédactionnelle est essentielle. Entre analyses d’œuvres et notes d’intention, ce sont des compétences que j’applique notamment en audiovisuel aujourd’hui. C’est également là où j’apprends à travailler avec un processus créatif, où je rencontre des artistes locaux et étend ma culture artistique.